Voilà, j'avais une rédac' a faire vu que j'ai été absente pendant trois jours en français.
Le sujet c'était que en fait, on rencontrait quelqu'un, ca devenait notre ami, puis un jour il arrive quelque chose, ou il nous avoue quelque chose qui fait que l'amitié ne peux plus continuer. Donc voici ma rédac'... Il y a une part de ce que j'ai vécu dedans.
Le samedi, mon père était venu me chercher. J'allais en vacances chez lui. Je n'aimais pas aller en vacances là-bas. Mais bon, pour faire du ski, à noël... J'allais bien supporter. Environ quatres heures de trajet de voiture, pour arriver à la station de Crest-Voland où mon père possède un chalet composé de quatres appartements. On était là-bas pour deux semaines.
Le samedi, mon père était venu me chercher. J'allais en vacances chez lui. Je n'aimais pas aller en vacances là-bas. Mais bon, pour faire du ski, à noël... J'allais bien supporter. Environ quatres heures de trajet de voiture, pour arriver à la station de Crest-Voland où mon père possède un chalet composé de quatres appartements. On était là-bas pour deux semaines.
Nous avons posé nos valises puis nous nous sommes affalés sur les lits superposés, il faut dire qu'un trajet en voiture, ça fatigue. L'après midi, nous avons commencé les cours de ski. J'allais tenter de passer ma deuxième étoile. Nous n'étions pas nombreux dans le groupe. Quatre à peine. On aurait dit un cours particulier. Parmis ces quatre, il y avait un jeune garçon, du même âge que moi. Il s'appelait Adrien.
Au fil des jours, nous devenions de plus en plus proches, dans l'amitié. On skiait toujours ensemble, même lorsque nous n'étions pas avec nos moniteurs. Cela m'étonnait que ses parents les laissent skier seul avec des gens qu'ils ne connaissaient pas. D'ailleur, il ne m'avait jamais parlé de ses parents, je trouvais ça bizzare. Mais après tout, il n'était pas obligé de m'en parler.
Ensemble, on faisais des sauts majestueux dans le « Snow Park », On se lançais le défi de faire la piste noire le plus de fois possible, ou encore de lancer des boules de neige sur les gens du haut du téléski. C'étaient de magnifiques moments à ne pas du tout oublier.
Il restait environ quatre jours avant que je reparte chez moi, laissant les montagnes enneigée derrière moi. Lorsque je me rendais à mon cours de ski, il n'était pas là. Je m'inquiétais. Le moniteur m'expliqua qu'on devait le récupérer aux pistes des saisies. Seulement, arrivés là bas, il n'était pas là. Pas une trace de lui. On a attendu, attendu, et encore attendu, en tout, une heure et demie, et il n'est pas venu. Le moniteur nous a fait faire le cours quand même. Je n'étais pas d'humeur, j'envoyais valser tout ce qui se trouvait sur mon passage. J'étais malheureuse, j'avais l'impression de ne plus être en sécurité avec lui. Le cours était fini, je rentrais au chalet.
Il m'attendait là-bas, je ne savais absolument pas comment il connaissait mon adresse. Il avait l'air grave. Quelque chose ne tournait pas rond. Pourquoi n'était-il pas avec ses parents? Pourquoi n'était-il pas venu au cours aujourd'hui? Je voulus m'approcher de lui, le serrer dans mes bras. Mais il s'échappa. Il avait laissé une lettre. Je ne voulais pas la lire. Je craignais son contenu, même si je n'en avais aucune raison.
Zoey,
Je suis désolé d'être parti aussi lâchement, j'aurais tellement voulut te serrer dans mes bras, te dire un dernier au revoir. Mais ce n'était pas possible. Il faut que je t'explique quelque chose que j'aurais dû t'expliquer dès le début, Zoey. C'est un peu compliqué. Je comprendrais que tu m'en veuilles. Vois-tu, quand je n'étais encore qu'un gamin, mon père a été assassiné par sa maîtresse, qui en avait marre de le voir en cachette, à l'insu de ma mère. Il la battait quand elle lui râbachais sans cesse que ce n'étais pas une vraie vie. Elle l'a donc tuée. J'aimais mon père plus que tout. Lorsque j'ai été en âge de comprendre, je me suis rendu chez cette femme, je l'ai tué Zoey, tu te rends compte, je l'ai tuée! Ma mère est morte en apprenant la mort de mon père, elle était si triste. Je suis un orphelin, mais pas que. Je suis un assassin. Depuis, je fuis, pour ne pas me faire attrapper. En fait, les cours de ski, je ne les avais pas payés. C'était un arrangement entre le moniteur et moi. Ces jours passés avec toi, Zoey, je ne les oublirais pas, promis. J'espère que toi non plus. Mais je dois m'éloigner maintenant, je ne veux pas que l'on te découvre en ma présence. Ca risquerait de t'attirer des ennuis.
Adieu Zoey
Je me sentais totalement effondrée après avoir lu cette lettre. Ainsi, je ne le reverrais jamais. C'était bien triste. Non, je ne lui en voulais pas. Aujourd'hui, je ne me souvenais pas de cette histoire, mais, en j'étais à présent en 3ème, et j'avais croisé un 6ème, du nom d'Adrien, et c'était son portrait craché. Tous ces souvenirs me sont revenus. Impossible de les laisser passer sans le raconter a quelqu'un. Cette amitié avait bel et bien fini lorsque j'avais lu cette lettre. Je me demandais même si je n'avais pas rêvé entièrement cette histoire improbable.
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Mer 15 Déc - 12:32
Quand je l'ai lu, j'ai trouvé ça très bien écrit! Après, dans les premières lignes, je trouve que tu fais quelques répétitions, mais rien de grave... 
En tout cas, bravo! J'aime! 